Armand Guillaumin, NOTES-3
[29] : Notamment dans ses premières années
[31] : FENEON, F., Œuvres plus que complètes, Textes réunis et présentés par Joan U. Halperin, Genève-Paris, Droz, 1970, ou Œuvres complètes, Les impressionnistes en 1886, Paris, 1948, p.76
[32] : HUYSMAN, Joris, Karl, L’art moderne. L’exposition des indépendants, Paris, 1902, p.261
[33] : selon une anecdote rapportée par madame Jo Teillet, la fille du peintre Smith de Bordeaux.
[35] : Il disait que s’il pouvait imaginer qu’il existe d’autres endroits « aussi beaux » que la Creuse, il ne pouvait pas croire qu’ils y en eussent de « plus beaux ».
[36] : Notamment sur les quais parisiens ou à Damiette
[37] : A Saint Servan et à Dinard en 1900 ou à Pléneuf-Val-André.
[38] : Dans la baie du Mont Saint Michel, à Jullonville en 1873 et à Carolles en 1902, mais aussi à Dieppe dès 1881, à Clécy-sur-Orne dans l’été 1891 ou à Rouen.
[39] : Notamment à Agay, presque chaque année à partir de 1887, et à Trayas.
[40] : Plus précisément à Pontcharra, à la limite entre la Savoie et l’Isère, en particulier en 1890, 1895, 1901 et 1913
[41] : Notamment à l’Ile de Ré en février 1892 et surtout près de Royan, à Saint-Palais-sur-Mer à partir de 1889 ou à Breuillet.
[42] : Desservi depuis 1881 par des trains de la compagnie de chemin de fer Paris-Orléans